Projet de 700 000$ au CLSC de Fortierville
FORTIERVILLE. La salle de graphie du CLSC de Fortierville fera peau neuve en 2021. Elle sera réaménagée et pourvue d’équipements à la fine pointe de la technologie.
Le projet représente un investissement d’environ 700 000$. Il est rendu possible grâce, entre autres, à la contribution de la Fondation santé Bécancour-Nicolet-Yamaska et des Caisses Desjardins de Gentilly-Lévrard–Rivière du Chêne, Godefroy et Nicolet (125 000$). Il permettra d’améliorer la qualité des services de radiologie offerts à la population de Fortierville et des environs, en plus de faciliter le travail du personnel.
Le Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux de la Mauricie-et-du-Centre-du-Québec (CIUSSS MCQ) confirme que l’équipement d’imagerie médicale en place à son centre multiservice de Fortierville est rendu en fin vie utile. «Nous devons procéder à son remplacement, indique Catherine Bergeron, agente d’information au Service des communications du CIUSSS MCQ. Plusieurs analyses ont été effectuées. Des rencontres ont eu lieu avec les différents intervenants et les médecins afin de bien planifier le tout.»
Le projet a connu un peu de retard en raison de la pandémie, mais le CIUSSS devrait être en mesure de présenter les plans et les échéanciers bientôt, l’objectif étant de compléter le projet rapidement en 2021. Les travaux s’échelonneront sur une période de 10 à 12 semaines.
Afin que tout se passe bien et que la qualité des services soit maintenue en tout temps, un gros travail de planification est en cours de réalisation. «Il faut comprendre que ce n’est pas simplement le changement d’appareil qui sera effectué. Il faut d’abord sortir l’équipement en place, préparer les lieux pour accueillir le nouvel appareil (cela implique de revoir l’électricité et la ventilation), effectuer le contrôle qualité, et former le personnel sur ce nouvel appareil d’imagerie médicale», explique Mme Bergeron.
Pour la durée des travaux, un équipement d’imagerie médicale mobile sera disponible sur place afin de répondre aux besoins urgents en radiographies. «Certains usagers seront également dirigés vers d’autres installations à proximité, notamment pour les besoins moins urgents, ou encore ceux qui nécessitent des analyses plus complexes», précise Mme Bergeron.